mercredi 5 septembre 2018

Première série de projections au clap Ivoire, des problèmes techniques à résoudre

18ème édition de Clap Ivoire 
Première série de projections a lieu cet après-midi.

Huit films au total auront retenu l'attention des membres du jury et des cinéphiles. Démarrée à 15h locales, par la fiction du Sénégal Goom-bi suivi du documentaire béninois Zungboli le chemin de la forêt, la série de projections a montré l'or dure film documentaire du Togo, N'zueba fiction de la Côte-d'Ivoire, Lagrimas de SIDA (l'arme de sida ) de la Guinée-Bisseau. Après la pause pub des partenaires, les documentaires façade du Mali (sur l'environnement), du Burkina La nature nous parle, celui du Niger, le dernier combat (sur les anciens combattants tirailleurs sénégalais regroupés en France depuis 2017) ont bouclée la première journée de projections des films e' compétition.
Tout n'a pas été pour autant rose. La qualité peu désirable de la majorité des films projetés à l'écran de cette somptueuse salle du Majestic Ivoire ne serait pas celle effective des films envoyés. C'est du moins la plainte de la plupart des candidats dont les films ont subi le même sort. A l'exception de la Côte-d'Ivoire. Les techniciens ont simplement confié que le problème s'est posé au niveau du projecteur. Mais le guide des lauréats pour répondre à la question a servi un autre argument qui est relatif à la compatibilité des formats. Selon les dires de monsieur Jacques Amoin les films envoyés seraient convertis en Dcp avant 'être portés à l'écran, ce que fustigent les lauréats. 
Espérons que l'organisation puisse rectifier le tire avant la deuxième série de projections. 


Augustin Laourou Réalisateur de Zungboli le chemin de la forêt à la sortie de la cérémonie d'ouverture " Toutes les allocutions qui ont été présentées surtout celle du directeur de A+ m'ont donné de l'eau à la bouche. Il est dit qu'il y a plusieurs prix à gagner en plus il y aura du matériel qui sera offert, ou de l'argent pour l'achat de matériels de qualité. On dit souvent pour des oeuvres de qualité, il faut des matériels de qualité. Là je sais que je partirai à Cotonou avec, pas un seul mais plusieurs prix. J'ai échangé avec les confrères des autres pays de l'Uemoa. c'est vrai que plusieurs films en compétition abordent l'environnement ou les,changements climatiques. Je suis confiant et en conclus que mon film est d'actualité et propose des solutions à des problèmes d'actualité."


Yves Sossa très rassuré " Je suis ici pour gagner. Je veux le Kodjo Ebouclé. Vu l'engouement et l'organisation, ça donne une idée des films en compétition. C'est le rendez-vous de la crème des crème. Déjà le film lauréat 2017, témoigne de la qualité des oeuvres primées. Clap Ivoire est une compétition Et quand moi je participe à une compétition c'est pour gagner. Je vais rentrer à Cotonou avec le Kodjo Ebouclé."

Happy Sylvestre GOUDOU

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